Ce roman, dont l'auteur est votre serviteur, vient de paraître chez Librinova.
La version papier peut être commandée sur le site de librinova.com et livrée en France ainsi que dans 5 000 librairies dont la FNAC. On le trouve aussi sur Amazon.fr qui livre Belgique.
Il s'agit d'un roman uchronique. L'uchronie est une évocation imaginaire dans le temps. Etymologiquement, le mot désigne donc un « non-temps », un temps qui n’existe pas.
En littérature, c'est un genre qui repose sur le principe de la réécriture de l’Histoire à partir de la modification d’un événement du passé. On utilise également l’expression « histoire alternative ».
L’auteur d’une uchronie prend comme point de départ une situation historique existante et en modifie l’issue pour ensuite imaginer les différentes conséquences possibles.
À partir d’un événement modifié, se crée un effet domino qui influe sur le cours de l’Histoire. On commence donc par "et si…?"
Et si en janvier 1944 un événement exceptionnel avait mis fin aux combats entre les armées allemandes et les forces alliées ?
Et si les belligérants s’étaient retrouvés malgré eux dans une « drôle de paix » qui n’en était pas vraiment une ?
Et si cinq ans plus tard, dans une Europe toujours occupée par les nazis, les destins d’un directeur de musée qui cachait un jeune Juif, d’un Oberstleutnant de l’Abwehr, d’un industriel allemand et d'un médecin belge d’origine juive allaient croiser ceux des plus grands criminels de l’histoire ?
oOo
La plupart des romans uchroniques traitants de la seconde guerre mondiale (comme le célèbre « The Man in the High Castle » de Philip K. Dick ou « Fatherland » de Robert Harris), ont comme postulat la victoire de l'Allemagne nazie. L'originalité du présent roman est de prendre une autre voie : celle d’un arrêt des combats, sans gagnant ni perdant.
On se retrouve donc avec deux puissances nucléaires qui se font face et qui, après quelques années, rêvent de faire la paix, pour pouvoir faire du commerce comme autrefois. Mais les Allemands sont-ils devenus fréquentables ? Ne reste-t-il pas un obstacle majeur à un traité de paix ? On parle de camps de concentration, voire même d'extermination, certains emploient même le terme d'holocauste...
Mais les camps d’extermination ont-ils réellement existé ? Cinq ans après la fin des hostilités, les nazis se sont peut-être arrangés avec l’histoire…
Pendant ce temps, dans l’ombre, des hommes concoctent un plan baptisé «Opération Zwei Adler», deux aigles. Que va-t-il se passer le 13 septembre 1949 à Waterloo ?
C’est peut-être le souvenir de mes deux grands-mères, pourtant disparues depuis longtemps, qui m’ont donné envie d’écrire ce roman que je rumine depuis des années.
D’un côté il y avait la douairière, ma grand-mère Jamin qui se plaisait à dire qu’Hitler avait «des yeux de velours» (!) et qui en voulait à son pays d’avoir, en 1945, lourdement condamné deux de ses fils. L’un était caricaturiste et l’autre (mon père) journaliste. La Belgique libérée leur reprochait d’avoir travaillé pour des journaux collabos durant la guerre. Je la voyais rarement, vivant ma petite enfance auprès de mes grands-parents maternels.
Je me souviens toujours avec émotion de ces moments où ma grand-mère Quittelier quittait brusquement la table et se réfugiait au salon, pleurer à l’abri des regards. Nous savions que c’était la mort de son fils, jeune architecte tué en mai 40 lors de l’invasion allemande, qui était la cause de cet inconsolable chagrin. Pour elle, Hitler n’avait pas des « yeux de velours » mais des yeux d’assassin…
Enfant, je me disais que si la guerre n’avait pas eu lieu, j’aurais connu cet oncle dont tout le monde disait tant de bien. Et qu’au contraire, si l’Allemagne avait gagné, mon père serait peut-être devenu quelqu’un d’important. Drôle de jeunesse…
Il me semblait devoir à mes grands-parents maternels et à l’affection que je leur porte toujours aujourd’hui de dédicacer ce roman à leur fils, cet oncle que je n’ai jamais connu.
Un aperçu de notre séjour en Inde du sud (les états du Tamil Nadu et du Kérala), un voyage organisé par KST, une agence (francophone) qui organise votre séjour à la carte. Hôtels, voiture, chauffeur… rien à dire ! (sauf bravo et merci)
Envie de découvertes authentiques en Inde du Sud ? Notre agence francophone agréée vous propose 3 gammes de circuits mais aussi la conception de voyages et itineraires sur mesure au Kerala, Tami...
cliquer sur les photos pour les voir dans leur format d'origine,
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En route vers Mahabalipuram. Au volant, Senthil, notre chauffeur, impressionnant de calme dans une circulation souvent... démente.
MAHABALIPURAM
MAHABALIPURAM est classé au patrimoine de l'Unesco.
On y voit les Rathas (gros blocs de pierre monolithiques), le Temple du Rivage, la sculpture de la descente du Gange (un grand bloc de 25 mètres de long en saillie de la colline rocheuse entièrement sculpté)
Cette pierre étonnante qui semble prête à rouler est une roche naturelle géante comme posée sur le flanc d'une colline, également de pierre. Selon la légende elle représente une boule de beurre perdue par bébé Krishna.
Notre hôtel : LE RADISON BLU Resort
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Le lendemain, sur la route de Pondicherry, une curiosité :
AUROVILLE
Auroville (« la ville de Sri Aurobindo » mais aussi « la ville de l'Aurore ») est une ville expérimentale située à une dizaine de kilomètres au nord de Pondichéry dans l'État du Tamil Nadu qui fut créée en 1968 par Mirra Alfassa (Mirra Richard), plus connue sous le nom de la Mère et compagne spirituelle du philosophe indien Sri Aurobindo.
Auroville a pour vocation d'être, selon les termes de sa conceptrice, « le lieu d'une vie communautaire universelle, où hommes et femmes apprendraient à vivre en paix, dans une parfaite harmonie, au-delà de toutes croyances, opinions politiques et nationalités». Aujourd'hui, les Aurovilliens, issus de cinquante pays, sont organisés en 35 unités de travail : agriculture, informatique, éducation, santé, artisanat, etc.
le Matrimandir, gigantesque salle de méditation aux murs de marbre blanc abritant le (supposé) plus gros globe de cristal du monde.
PONDICHERY
Cet ancien comptoir de la Compagnie des Indes Orientales Française offre au visiteur un visage très original de l’Inde du sud, entre modernité, vestiges coloniaux et traditions culturelles tamoules. En se promenant dans la partie « coloniale » de la ville (que l'on nomme la ville blanche), située à proximité de la mer et séparée de la ville indienne par un canal, on est frappé par tous les vestiges de la splendeur coloniale française.
L’empreinte française reste très forte à "Pondy", ne serait-ce que par la présence d’un imposant lycée français, d’un consulat, d’une alliance française ainsi que d’institutions comme l’École Française d’Extrême Orient. Le quartier tamoul possède son propre patrimoine architectural et grouille d'activité toute la journée et affiche le côté indien de Pondichéry.
Initiation à la cuisine indienne.
Départ (en "tuk-tuk") pour le grand marché de Pondicherry pour y faire les courses en compagnie de Lakshmi la professeure.
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La cuisine tamoule est basée sur six saveurs de base : sucrée, aigre, salée, amère, piquante et astringente. Elle recommande que chacun de ces six goûts soit présent dans chaque repas principal. Chaque goût participe à l'équilibre général, et inclure ces six goûts permet une alimentation complète et équilibrée, propice tant à l'appétit qu'à la digestion.
Et c'est parti pour un cours de cuisine authentique dans le cadre d'une maison traditionnelle, occasion de découvrir l'utilisation des épices, propres à la cuisine indienne. Je prépare un byriani en suivant les ordres de madame Lakshmi.
Le Byriani est un plat de fêtes, servi lors d’occasions spéciales telles que mariage, anniversaire. C’est un grand classique de la cuisine indienne fait dans le cas présent de poulet et de riz basmati.
C'est donc du poulet, des légumes, des noix de cajou, des raisins secs et du masala. Le masala c'est très simple. Il vous faut juste des graines de coriandre, des graines de cumin, de la poudre de garam masala, une botte de coriandre fraiche, quelques branches de menthe, des piments rouges, un petit morceau de gingembre, de l'ail et des piments verts. Le riz est cuit avec de la cardamome, des clous de girofle et un bâton de cannelle. Bref, une cuisine toute simple (!) qui se mange avec les doigts sur une feuille de bananier (mais pour nous avec une cuillère !) et quand il y a trop… il y a toujours un chat qui est amateur !
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Notre hôtel à Pondichéry : LE PALAIS DE MAHE, rue de Bussy, au cœur du quartier français et à quelques pas de la célèbre promenade de mer sur le baie de Bengale.
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Une très belle piscine pour un hôtel de centre ville et un excellent restaurant au dernier étage.
Fête de Ganesh sur la promenade du bord de mer
Si la plupart du temps nous dînons à l'hôtel, pour le déjeuner nous mangeons avec Senthil dans des petits restaurants locaux. C'est parfois "hot" mais jamais mauvais. Et même parfois très bon !
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En route pour Thanjavur. A Chidambaram, le sanctuaire du Natajara, le "danseur cosmique", l'une des plus célèbres représentations du dieu Shiva effectuant sa "danse bienheureuse".
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Et comme partout dans le pays, une population souriante… ils ont tous un smartphone mais demandent qu'on les prenne en photo et on ne s'en prive pas !
THANJAVUR
En route, arrêt pour une balade sur un marché. On traverse ensuite de grandes plantations de canne à sucre. De petits artisans longent la route comme ceux qui fabriquent des cordages à partir de fibre de coco.
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Gangaikondacholapuramest une ancienne capitale de l'empire Chola construite par le roi Rajendra Ier vers 1025, pour commémorer sa victoire sur les Pala du Bengale. Il ne subsiste que le temple inscrit en 2004 sur la liste du patrimoine mondialpour son exceptionnelle qualité architecturale et l'abondance de ses sculptures.
Notre hôtel à Thanjavur: IDEAL RIVER VIEW
Le temple de Brihadesvara est une réalisation exemplaire du style drâvidien d'architecture religieuse. Inscrit à l'UNESCO, c'est l'un des plus grands temples de l'Inde. Du haut de ses 1000 ans, ce temple monochrome s'élève majestueusement jusqu'à 66 mètres de hauteur. Il illustrait la puissance de la dynastie Chola et était utilisé pour des cérémonies religieuses royales.
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En route, halte à Narthamalai, une colline au sommet de laquelle on trouve un petit temple bien préservé, avec une belle vue sur les rizières et les plaines alentours.
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KANADUKATHAN
La région du Chettinad comprend une petite centaine de villages, c'est le pays des Nattukottai Chettiar (Nagarathar), une communauté prospère dans le domaine des affaires et de la banque, dont de nombreux membres ont émigré en Asie du sud ou en Asie du sud-est, en particulier au Sri Lanka, en Birmanie et au Vietnam au XIXe siècle et au début du XXe siècle.
Ils ont développé cette région et l'ont transformée en rapportant de leurs voyages à l'étranger leur goût pour l'architecture aussi bien italienne qu'asiatique. Ils ont créé des villages atypiques aux rues rectilignes avec d'incroyables maisons-palais d'architecture baroque. Bien que souvent vétustes, ces villages dégagent une ambiance particulière et les quelques palais ont un charme exceptionnel.
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Comment afficher sa réussite au sein de sa propre communauté ? En y revenant et en y construisant d’imposantes demeures. Ils y ont d’ailleurs non seulement édifié leur maison mais aussi repensé la géographie urbaine – rues orthogonales, gestion de l’eau, innovations techniques. Bref, un véritable développement urbain implanté au milieu de la ruralité sauvage du Tamil Nadu.
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Si leurs propriétaires ont quasiment tous quitté le Chettinad pour les grandes villes, rares sont ceux qui acceptent de vendre leur maison familiale. Ils préfèrent les louer pour des tournages de films ou pour organiser de grandes fêtes de mariage.
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Notre hôtel à KANADUKATHAN: le VISALAM CGHEARTH, une superbe ancienne villa privée de style art-déco.
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Dans chaque village que nous traversons, d'autres palais dont celui-ci, hélas délabré, mais d'un superbe style art-déco
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Des chevaux de terre cuite protègent le temple de Namasamudram
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MADURAI
MADURAI est la seconde ville la plus importante et la capitale culturelle de l'État du Tamil Nadu et est aussi une des villes les plus anciennes de l'Inde : elle figure parmi les plus vieux centres urbains continuellement habités au monde.
Nous découvrons d'abord le marché au fleurs de la ville. Ici, des centaines de kilos de boutons de fleurs sont vendus aux petits commerçants qui fabriquent les offrantes en fleurs fraîches destinées aux temples.
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déjeuner avec Senthil
Le palais de Thirumalai Nayak.
Conçu en partie par un architecte italien il a été construit en 1636 pour Thirumalai, un souverain Nayak. Le centre du palais est occupé par une grande cour rectangulaire entourée de galeries voûtées de 20m de haut, soutenues par des piliers d'ordre monumental, caractéristique de l'architecture des Nayak.
Au centre de la ville, l’immense Temple de Mînâkshî est un chef-d'œuvre de l'architecture dravidienne et l'un des temples en activité les plus importants de l'Inde. Il comporte une profusion de sculptures (Il y en auraient 33 000) et fut repris dans la liste des 30 meilleurs candidats pour les Sept Merveilles du Monde moderne.
Senthil ne nous avait pas prévenus qu’il n’était pas permis de visiter le temple en bermuda. Seule solution : nous achetons des dhotis. Le dhoti est un vêtement à l'usage des hommes adopté dans une grande partie de l'Inde. Il consiste en une pièce rectangulaire de cotonnade d'environ 5 m sur 1,20. (Merci de ne pas rire)
Le temple de Mînâkshî compte parmi les lieux saints de l'Inde les plus fréquentés : il attire 15 000 visiteurs par jour et 25 000 les jours de fête. Le festival annuel de Tirukalyanam en avril-mai dure dix jours et attire 1 million de visiteurs. Hélas, depuis peu, appareils photo et caméras sont interdits. La photo ci-dessous vient d'internet .
photo Bernard Gagnon
Notre hôtel à Madurai : The GATEWAY HOTEL PASUMALAI MADURAI, une ancienne demeure coloniale située au sommet d'un immense parc qui domine la ville.
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THEKKADY
La route emprunte des plaines bordées de nombreuses plantations et nous quittons le Tamil Nadu pour entrer dans l'état du Kerala. Thekkady se trouve à 1000 mètres d’altitude, aux portes de l’une des plus grandes réserves naturelles du sud de l’Inde, le Periyar Wild Life de près de 800 km2 de denses forêts de feuillus et de savanes. . Eléphants sauvages, cerfs, bisons, macaques et tigres y vivent en liberté et peuvent (parfois) être observés durant les saisons chaudes. La région de Thekkady est aussi célèbre pour ses plantations d’épices : girofle, cannelle, muscade, poivre, gingembre, cardamone …
cliquer sur la photo pour la découvrir dans son format original
Le Kérala est célèbre dans le monde entier pour être le berceau de l'ayurveda, une forme de médecine traditionnelle. La médecine ayurvédique puise ses sources dans le Véda, ensemble de textes sacrés de l'Inde antique. En l'occurrence, il s'agit d'une approche médicale holistique datant de la civilisation védique et toujours en vigueur aujourd'hui.
La plupart des hôtels proposent des massages ayurvédiques mais nous avons eu la surprise de nous voir proposer une balade en jeep dans les montagnes autour de Thekkady sur des chemins plus qu'improbables faits de trous et de bosses qui nous a procuré un massage du dos et des reins particulièrement violent !
Mais les paysages en valaient la peine : nous sommes à la frontière de l'état du Kérala, mais de ce point de vue c'est la plaine de l'état du Tamil Nadu, que nous découvrons 800 mètres plus bas.
Notre hôtel à Thekkady : le SPICE VILLAGE
un resort installé dans un magnifique parc parsemé de bungalows inspirés des habitations de la tribu autochtone des Manan. Ce "village des épices" est un véritable jardin botanique avec des dizaines d'essences d'arbres. Bungalow très confortable, excellents restaurants, un très beau bar, un personnel aux petits soins, cet hôtel est notre coup de cœur du voyage.
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Le lendemain, d'autres promenades, d'autres paysages et déjeuner à l'hôtel.
MUNNAR
Munnar est au cœur des montagnes les plus hautes du Sud de l’Inde (L'Anamudi peak culmine à 2695 mètres) elle est entourée de collines ondoyantes parsemées de plantations de thé datant de la fin du XIXe siècle et des forêts d’eucalyptus.
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Notre hôtel : le SPICE TREE MUNNAR
est situé à une vingtaine de kilomètres de la ville, au bout d'une route (qui ressemble fort à un chemin !) où les croisements sont pour le moins hasardeux. Mais Senthil - comme toujours - reste zen...
vue depuis l'hôtel
Situé au cœur de Kannan Devan Hills et de Bison Valley Hills , le SpiceTree est une expérience en soi. L'hôtel étant situé dans une zone écologiquement sensible, la société a prit une série d’initiatives favorables à l'environnement : énergie solaire, eau traitée servie dans des bouteilles en verre, potager bio, produits de toilette écologiques à base de plantes, tant dans l'emballage que dans le contenu, etc.
Le Spice Tree propose des activités diverses comme des cours de cuisine ethnique, dégustation de thés (thé blanc, thé vert, etc.), cours de méditation et de yoga, promenades accompagnées, etc.
Un endroit de rêve pour se ressourcer...
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Le lendemain nous visiterons Munnar que nous mettrons trois heures à rejoindre. Vingt-trois kilomètres seulement, mais les pluies torrentielles (et catastrophiques) du mois d'août ont provoqué des glissements de terrains. Heureusement les paysages sont somptueux !
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Munnar est une petite ville grouillante d'activité avec son petit marché de fruits et légumes, son marché couvert et ses magasins d’épices.
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Après déjeuner, (excellent et à un prix plus que modique : l'équivalent de 4 € pour trois !) nous prenons la route de Mararikulam et de ses plages. Nous mettrons 5 heures pour faire quelques 180 km...
MARARI
Notre hôtel à Mararikulam Beach : le XANDARI PEARLcomprend 27 villas réparties dans un immense parc de cocotiers, manguiers et noix de cajou près du village de pêcheurs de Mararikulam. Les villas, conçues par l'architecte californien Sherrill Broudy comportent une chambre extrêmement spacieuse, un jardinet privé et une salle d’eau en plein air.
Très beau restaurant (assez cher pour l'Inde), magnifique piscine et une tondeuse à gazon particulièrement silencieuse...
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Un potager bio fournit le restaurant en légumes. Au bout du parc, la plage, immense et le plus souvent déserte. Des pêcheurs, de rares promeneurs, la mer, le ciel...
Les pêcheurs, au bord de la route, vendent le résultat de la pêche du jour
en route pour KUMARAKOM et les backwaters
Les Backwaters du Kerala sont formés d'une série de lagunes et de lacs d'eau saumâtre parallèles à la mer d'Arabie, en retrait de la côte de Malabar.
Le réseau, constitué de quelques 1 500 kilomètres de canaux, tant naturels qu'artificiels, inclut plusieurs grands lacs alimentés par une quarantaine de fleuves côtiers. Le lac Vembanad couvre une superficie de 200 kilomètres carrés.
Reliées par les canaux creusés par la main de l'homme, les lagunes forment un réseau de transport de marchandises largement utilisé par l'économie locale.
Notre hôtel : Le COCONUT LAGOON
Le Coconut Lagoon est situé sur le lac Vembanad, il est accessible uniquement par bateau, une agréable promenade fluviale d’un kilomètre. L’hôtel est constitué de cottages construits à partir des vestiges d'anciennes demeures, les tharavads, qui étaient autrefois les maisons familiales de la noblesse du pays qui sont disséminés dans une cocoteraie au bord du lac.
Le lendemain, embarquement à bord d'un house-boat pour 24 heures de croisière
Nous avons trois membres d'équipage à notre service. Le cuistot nous sert un repas tout à fait correct. Et nous voguons sur les canaux...
Dans l'après-midi, à bord d'un canot à moteur nous faisons une balade sur les petits canaux. Les jeunes rentrent de l'école, les femmes lavent le linge, monsieur prend sa barque pour faire des courses, c'est la vie de tous les jours de la Venise Indienne.
En fin de journée, le house-boat est amarré pour la nuit. Après le dîner nous recevons la visite de quelques escadrilles d'IVNIS (Insectes Volants Non Identifiés) et nous nous réfugions dans notre cabine.
A 5:30 nous serons réveillés par des hurlements d'un haut-parleur : notre capitaine Haddock a eu la bonne idée d'amarrer devant un temple. Nous profiterons ainsi de 50 minutes de ce que nous supposons être des prières. Je crois que Dieu (quel qu'il soit) doit être sourd à force...
Toutes les agences, tous les sites internet vous le diront : le house-boat, c'est le must lorsque vous visitez le Kérala. Pour notre part, nous avions un souvenir extraordinaire de notre séjour en house-boat sur le lac Dal à Srinagar dans le Cachemire. Un paysage fabuleux (la chaîne de l'Himalaya en toile de fond !) et un house-boat superbe nous aurons marqués. Alors quid de la croisière sur les backwaters du Kérala ?
Entre rizières et cocoteraies, les paysages sont beaux mais finalement assez répétitifs et on a parfois l'impresion de voguer sur un égout. Reflets arc-en-ciel à la surface dus au gasoil, bouteilles et sacs en plastique et détritus de toutes sortes flottent un peu partout. Un membre de l'équipage devra même plonger (beurk !) pour dégager l'hélice prise dans des mètres de toiles.
Il y a 20 ans l’eau du lac et des canaux était potable parait-il, aujourd’hui elle est totalement impropre à la consommation.
Le Kérala est victime de son succès : il y aurait 1 500 house-boats dans la région !
Les conséquences sont aussi dramatiques pour la faune et la flore locale. Quelques années auparavant le lac était gorgé de poissons en tous genres, aujourd’hui les pêcheurs ont du mal à revenir avec des prises.
Pour nous ce ne fut pas une bonne expérience, une balade en barque est suffisante pour découvrir le site mais… c'est à vous de voir. (ou de ne pas voir…)
FORT KOCHI
Fort Kochi (autrefois Fort Cochin) est un des quartiers de la ville de Kochi, à l’embouchure de la baie sur la côte de Malabar, à l’ambiance « post coloniale », avec de nombreuses anciennes bâtisses anglaises ou portugaises, souvent converties en hôtels. Nous visitons d’abord le vieux secteur de Mattancherry, quartier des antiquaires et l’ancien palais, transformé en musée.
Notre hôtel : Le «Old Harbour Hôtel» est un bâtiment vieux de 300 ans, construit dans le style architectural néerlandais avec des notes d'influences portugaises.
Il a été magnifiquement restauré par un architecte suisse, Karl Damschen, réputé pour ses travaux sur la restauration du patrimoine au Kerala.
Nous y ferons notre dernier (et excellent) repas en Inde du sud...
QUELQUES VISAGES DE L'INDE...
En conclusion, c'est un voyage à faire, c'est évident. Surtout lorsqu'il est organisé avec autant de savoir-faire que par l'équipe de KST que nous remercions.
Un merci particulier aussi pour Senthil, notre chauffeur, qui profitait des moments où nous visitions un site pour parfaire son français. En 15 jours il avait fait des progrès ! Merci surtout pour son professionnalisme, sa conduite toujours extrêmement prudente et toute en douceur dans l'anarchique circulation indienne.
Et merci aussi à tous ces Indiens que nous avons croisés, dont pour beaucoup nous avons volé l'image et qui nous rendaient toujours le sourire qu'on leur faisait.
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ET POUR QUELQUES IMAGES DE PLUS...
Comment font-ils pour "battre" les épis de maïs et faire sécher les grains ? Mais sur la route, tout simplement...
(faites défiler les photos)
Vous connaissez la société TATA ? C’est un "petit" groupe industriel indien (chiffre d'affaires : 55 milliards de $ !). En 2008 ils lançaient la TATA NANO au tarif de 115.000 roupies. (1.500 €) La voici ici devant un tuk-tuk)
mais la NANO a vite perdu la faveur des acheteurs indiens, rebutés par son image de « voiture la moins chère au monde ». Dix ans après un lancement très médiatisé, la NANO a disparu des catalogues.
Cela n’a pas empêché TATA, la même année, de s’offrir les marques Jaguar et Land Rover !
Nouveau défi de TATA : remplacer les fameux "tuk-tuk" (ou autorickshaw) qui pullulent (et polluent) dans tout le pays par le MAGIC IRIS, véhicule, issu du mariage entre mini fourgon et scooter. Certes on y perd en couleur locale mais on y gagne en confort et en sécurité.
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On sait que la première industrie cinématographique au monde en ce qui concerne la production et le nombre d’entrées est indienne et pourtant, au long de ma (longue) carrière dans l'industrie cinématographique je n'ai jamais eu à promouvoir un film indien. Mais pour terminer cet article, rien de plus normal pour votre serviteur que de poser devant un cinéma...
Envie de découvertes authentiques en Inde du Sud ? Notre agence francophone agréée vous propose 3 gammes de circuits mais aussi la conception de voyages et itineraires sur mesure au Kerala, Tami...
Sans être certain que c'est ainsi qu'on dit quand on se trouve dans un endroit véritablement italien, je suis certain que c'était bien le cas ici. L'accueil est sympa malgré notre arrivée tardive et si le Spaghetti alla bottarga qui me faisait envie n'était plus affiché sur l'ardoise, no problemo : 15 minutes plus tard il est devant moi avec un somptueux verre de Montepulciano. Aucun doute, nos deux journées à Paris commencent bien ! Gracie !
AUGUSTE - 54 rue de Bourgogne, 75007Paris
+33 1 45 51 61 09
Une belle adresse
Le chef met beaucoup d'adresse dans la réalisation de ses plats, du coup la sienne (d'adresse) mérite le détour. Sans rentrer dans l'énumération des plats par crainte d'en estropier les énoncés, je dirais simplement que les huitres en gelée étaient superbes de fraîcheur, le turbo (photo) en mousse de coco à la cuisson parfaite. Très beau choix de vins décris avec passion et servis avec talent par un monsieur Mathias tout en sourire, le reste du service est très pro. Une étoile méritée.
Et pour terminer, une superbe soirée au CASINO DE PARIS
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Priscilla est un hommage à la Liberté et à la Tolérance
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La plus extravagante des comédies musicales !
Adaptée du célèbre film australien du même nom, sorti en salles en 1994, prix du public à Cannes avant de recevoir l’Oscar des meilleurs costumes en 1995. Sa Bande Son est la plus dansée de l’histoire, sur scène le défilé ininterrompu de chansons et de chorégraphies font de Priscilla la comédie musicale « FEELGOOD ! » par excellence.
C’est l’histoire tout aussi fantasque que le film, haute en couleurs, généreuse et drôle, de 3 amis qui s'apprêtent à traverser le désert Australien, de Sydney à Alice Springs, pour y présenter leur spectacle de Drag-Queen. Ils optent pour un bus qu'ils baptisent Priscilla pour le voyage de leur vie. Sur la route, ils ne trouvent pas que l'amour et l'amitié, mais bien plus que ce qu'ils n'auraient osé imaginer. Un voyage rythmé par les plus grands tubes de la musique disco de tous les temps, de Tina Turner à Gloria Gaynor, d’Aretha Franklin à Earth, Wind & Fire, de Madona à Kylie Minogue , Cyndi Lauper….
Sur scène, une troupe de 30 artistes, 500 costumes excentriques, 200 perruques délirantes, un autobus totalement robotisé, une énorme production pilotée par une technique des plus complexe et sophistiquée. Priscilla au Casino de Paris pour une expérience musicale hors du commun !
Un seul mot d’ordre ‘’I WILL SURVIVE’’.
IL SEMBLE QU'OVERBLOG A DECIDE DE POLLUER LES PAGES DES BLOGS AVEC DES ANNONCES PUBLICITAIRES
Raison pour laquelle vous trouverez moins de nouveaux articles que par le passé.
Mon frère Paul a le plaisir de vous convier au grand concert de fin d’année
qui aura lieu le 17 novembre 2016 à 20 heures
en la Cathédrale Saints Michel et Gudule à Bruxelles
Au programme
Telemann
Marcello
Schubert Messe Es-dur D 950
Cette année, le Chœur Sammartini sera accompagné par le Chœur géorgien Abkhzian State Capella, avec lequel le Chœur Sammartini a chanté à Pâques la Missa de Gloria de Puccini à Tbilissi (Géorgie)
Tickets en prévente à 20€ qu'il peut vous faire parvenir
ou laisser à disposition à l’entrée de la cathédrale le 17 nov.
à verser sur le compte : Paul Jamin BE10 0631 9108 6904.
(cliquez sur les photos pour les découvrir dans leur format original, c'est mieux !)
Une bonne centaine de kilomètres de chez nous, (environs de Perpignan) et nous voici sur la Côte Sauvage.
En espagnol la "Costa Brava", nommée ainsi pour la première fois en 1908 par le journaliste et poète Ferran Agulló, au vu de ses criques escarpées.
C'était à une époque où l'endroit attirait quelques artistes et de bien rares touristes, car jusqu'à la fin des années cinquante, la région ne disposait guère d'infrastructures touristiques. Ces superbes paysages n'attiraient que ceux qui avaient le goût de l'aventure.
C'est durant la période franquiste, à la fin des années soixante, que la Costa Brava a connu un (trop) important développement de tourisme de masse couplé aussitôt à des opérations de spéculation immobilière souvent désastreuses.
Heureusement, son relief souvent accidenté rendait la construction parfois difficile, voire impossible, ce qui a protégé certains endroits, parmi les plus beaux, de la rage des promoteurs.
Depuis les choses ont changé : la Catalogne s'est (enfin) adaptée aux exigences européennes en développant un Droit du Tourisme restrictif.
La loi sur le Tourisme 2002 définit maintenant des zones « saturées », menacées de surpopulation. Elle interdit la construction de complexes touristiques et restreint les hôtels à une capacité de 60 lits.
Aujourd'hui, la Costa Brava offre toujours une multitude de jolis villages de pècheurs comme Cadaques par exemple.
Ici: Sa Tuna
Ou Calella de Palafrugell, où nous avions choisi de loger.
Calalla de Palafrugell
Il y a énormément de choses à découvrir sur la Costa Brava, mais en trois jours nous nous sommes limités à la portion de Begur à Tossa de Mar, avec quelques incursions à l'intérieur du pays.
BEGUR
Entouré des collines du massíf de Begur, ce gros village en bord de mer est encore bien préservé du tourisme de masse.
Begur conserve un charme certain avec ses ruelles médiévales où l'on peut admirer les anciennes demeures d'Indianos, ces habitants de Begur partis au 19e siècle faire fortune à Cuba.
Revenus au pays les poches pleines, ils se faisaient construire de riches demeures sur les façades desquelles on a aujourd'hui apposé des plaques expliquant l'histoire de ceux qui les ont bâties.
Tous les ans, Begur célèbre des Indianos le premier week-end de septembre, par la Fira d'Indians.
CHEMINS DE RONDE
La Catalogne ne compte pas moins de 220 km de chemins de ronde, utilisés jadis par les contrebandiers et les gardes surveillant le littoral.
Ces chemins longent les criques et traversent les lieux les plus emblématiques de la Costa Brava.
Aujourd'hui, aménagés en itinéraires de randonnées, ils circulent au milieu des pins et offrent de superbes vues sur les calanques.
On y trouve souvent des tours de guet construites à des endroits stratégiques pour pouvoir communiquer entre elles. De jour la communication se faisait grâce à des signaux de fumée alors que de nuit elle se faisait grâce à des signaux de lumière. Il y avait en permanence un gardien dans la tour afin de prévenir les citadins d’aller se réfugier à l’intérieur des murs en cas de danger d’attaque barbaresque.
Pour les marcheurs, il y a au total en Catalogne 2 500 km d'itinéraires balisés.
Au départ de la platja Sant Pol (au nord de Playa de Aro), commence une de ces promenades qui longe un lotissement de luxe aménagé il y a une centaine d'années.
Platja Sant Pol
Les concepteurs du lotissement avaient prévus l'intégration d'un espace public le long de la mer.
Ici, le chemin passe sous le belvédère d'une propriété.
Dans la propriété de la famille Encesa, une logia de style Brunelleschi surplombe le chemin de ronde.
La promenade s'achève à la plage de Sa Consa.
TOSSA DE MAR
Si la ville en elle-même est sans charme, l'intérêt de Tossa réside en sa vieille ville médiévale (12-14e s.) entourée de murailles.
C’est le seul exemple de cité médiévale fortifiée qui existe encore aujourd’hui sur la côte de Catalogne.
(cliquez sur les photos pour les découvrir dans leur entièreté)
C'est ici que furent tourné "Pandora an the Flying Dutchman" avec Ava Garner et James Mason.
(Pandora et le vaisseau Fantôme)
Ava Gardner, Frank Sinatra et l'équipe du film à Tossa entre deux scènes de tournage en mai 1950 :
Cette Costa Brava abrite aussi de nombreux villages situés dans les terres, mais à quelques kilomètres seulement de la côte et qui, comme Pals ou Peratallada, sont l'occasion de découvrir de véritables petits bijoux médiévaux .
PALS
Le Village Médiéval de Pals se situe sur la cime du Puig Aspre.
Les premiers documents qui font référence au Village Médiéval de Pals datent du IXe siècle.
PERATALLADA
A quelques kilomètres seulement de Pals, certains le considèrent comme le plus beau village médiéval de catalogne.
Le village est assis sur des roches ravinées – d’où son nom signifiant "pierre taillée".
Située en dehors des fortifications, l'église romane Sant Esteve, austère bâtiment du 13 e s., avec deux nefs et deux absides, et des chapelles latérales du 16e et 18ème siècles.
Elle possède un campanile ajouré, d’un modèle très répandu dans la région.
Le château-forteresse
GASTRONOMIE
Les célèbres Gambas de Palamos (garanties par un label)
Avec Ferran Adrià à "El Bulli" dans les années 90 et aujourd'hui les frères Roca au "Celler de Can Roca" à Gérone, la gastronomie Catalane a pris un véritable envol au point d'être la première région à obtenir le label Région Européenne de la Gastronomie.
voir article sur le Celler de Can Roca (classé meilleur restaurant du monde) ici :
Ainsi reconnue, la Costa Brava se présente aujourd'hui comme une destination phare à la fois gastronomique et oenologique.
Excellence, prestige, innovation, créativité, expérience, la seule province de Gérone ne concentre pas moins de 13 restaurants qui arborent 17 étoiles Michelin !
Nous nous devions d'en tester un...
le restaurant
BO.TIC
.
Le talent d'un chef peut s'évaluer plus facilement sur son menu le moins cher que sur celui où il utilise des produits de luxe. Car il faut – je pense – plus de talent pour, par exemple, magnifier un filet de maquereau qu'un filet de sole. Il est plus aisé de faire une cuisine éblouissante avec du homard qu'avec des moules !
Le « petit menu » du BO.TIC à 44€ nous a pleinement démontré qu'Albert Sastregener mérite amplement son étoile Michelin.
Après d'excellents « craquers » maison et salsa brava, notre menu était composé comme suit :
1. Des moules en escabèche et melon : parfaites. C'est à la fois frais et goûteux.
2. Maquereau, ail blanc et laitue liquéfiée : accord impeccable, réalisation parfaite.
3. Riz crémeux, fruits de mer, suquet de crustacés : c'est la méditerranée qui débarque dans votre assiette avec tous ses parfums !
4. Moelleux de veau, pomme et parmesan : magnifique. La viande cuite à basse température est fondante et goûteuse, l'accompagnement de mousse de pomme et crème de parmesan, impeccable.
5. Sorbet citron et peppermint : idéal pour rafraîchir le palais.
6. Le « chocolat glacé » fraise sera le seul plat qui nous aura laissés... froids !
7. Les truffes (succulentes !) qui accompagnent le café nous aurons vite réconciliés avec la cuisine de ce jeune et grand chef. Allez-y avant qu'il ne reçoive sa deuxième étoile : ça ne saurait tarder !
Notre addition :
Deux « petits menus », 1 eau, ½ vin blanc Allende, 2 verres de vin rouge, 2 cafés : 134 € Ce n'est pas cher payé pour un tel repas gastronomique, une si belle table et un service aimable et efficace.
notre hôtel à Palafrugell
SANT ROC
http://www.santroc.com/fr/
Sans doute la meilleure situation de Calella : la vue sur la mer et le village sont magnifiques ! (si vous avez une chambre côté mer et village ! Les chambres côté parking sont moins chères, bien entendu, mais tellement moins agréables...)
On y trouve tout le confort qu'on peut attendre d'un trois étoiles, même si l'on peut regretter les dimensions minimes de la salle de bain.
Restaurant correct, service très aimable, très beau et très complet petit déjeuner en buffet qui peut être pris dans la véranda ou dans le jardin.
:
On s'est peut-être vu...
à Marche en Famenne (47-53) ; Bruxelles (Catteau 54-56) ;
Ath (57-62) ;
à la 20th Century Fox (70-96) chez Belga Films - RTL?
Ou ailleurs ?!...